Place au renseignement préventif Même l'aspect, souvent transfrontalier, de ces opérations (le chef du réseau a été arrêté ce même 8 mai par la police espagnole à Bilbao) ne surprend plus. La routine a un avantage: elle protège d'autant plus efficacement de l'angoisse que les Marocains, dans leur grande majorité, ont confiance en leur police – tout au moins dans les unités qui, en son sein, sont chargées de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Il n'en a pas toujours été ainsi. Restructurés, recadrés et nettoyés au Kärcher depuis trois ans, les quelque 70 000 agents de la sûreté nationale – la police classique en uniforme, visible quotidiennement dans les rues – n'ont pas encore achevé leur mue. Les coulisses de la lente dégradation des relations entre le Maroc et Amnesty International. Ripoux et tourmenteurs continuent d'y sévir, même s'ils sont de plus en plus rares et de plus en plus sévèrement sanctionnés. Les 7 000 hommes que compte la DGST n'ont, eux, plus rien à voir avec la sinistre réputation de leur corps jusqu'au début des années 2000. Le temps des rafles massives, des interrogatoires expéditifs et des séances de torture des années de plomb appartient au passé.
Place au renseignement préventif, aux arrestations ciblées, au respect des normes judiciaires, à la pénétration en profondeur des réseaux islamistes et à la déradicalisation. Si le siège ultrasécurisé du BCIJ à Salé, inauguré en mars 2015, est désormais connu des Marocains pour sa politique d'ouverture soigneusement calibrée en direction des médias nationaux et étrangers sous la houlette de son responsable, le très communicatif Abdelhak Khiame, 60 ans, ancien patron de la police judiciaire, il n'en va pas de même de la « maison mère ». Une institution « normalisée » Installé au cœur de la forêt de chênes-lièges de Dar es-Salam, non loin du golf du même nom, à la limite de Rabat et de la commune de Témara, cet ensemble de bâtiments partiellement entouré de murs recouverts de barbelés a longtemps été l'un des centres sécuritaires les plus secrets du royaume. Les coulisses maroc du. À l'époque où Driss Basri régnait sur ce qui s'appelait alors la DST, Témara était le lieu de tous les fantasmes et de tous les cauchemars, centre de détention et d'interrogatoire, « site noir » souvent comparé à Tazmamart et à Kelaat M'Gouna.
Ce 2 juin 2022, la reine Elizabeth II célèbre ses 70 ans de règne. Un record dans le monde. Une autre star sera aussi de la partie: le pudding royal au citron, créé spécialement pour le jubilé, en hommage à Sa Majesté. En quoi ce gâteau est-il spécial? On vous dit tout. Le Royaume-Uni célèbre les 70 ans de règne de la reine Elizabeth II. Les Britanniques bénéficient pour l'occasion de jours fériés, soit un week-end exceptionnel de quatre jours, du 2 au 6 juin 2022. L'objectif étant de permettre aux sujets de Sa Gracieuse Majesté de fêter dignement l'événement. Au programme des festivités: parade militaire, messe, courses hippiques et, bien sûr… dégustation de pudding, le traditionnel gâteau anglais. Cette année, c'est un pudding au citron et aux amaretti, biscuits italiens aux amandes, qui est à l'honneur. Le Maroc complote dans les coulisses à Tokyo pour faire exclure l’Algérie des JO - Algérie Patriotique. Un gâteau créé spécialement pour l'occasion La recette de ce pudding royal a été créée spécialement pour le jubilé de platine d'Elizabeth II! Elle est l'œuvre de Jemma Melvin, une publicitaire britannique de 31 ans, qui a remporté le concours de pudding lancé par la Couronne, le 10 janvier 2022.
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