Boutique Naturellement: Juin 2015

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Message n°4 Re: Fin de série Irpli Sam 22 Oct 2005 - 15:49 Il faut pourtant savoir que (d'après des sources orales, Stade de l'est pavillonnais, 1998) ce qu'on appelle "division" aujourd'hui était autrefois nommé "série". Cette division est restée dans différentes disciplines, en particulier au tennis. L'avènement du sport relève de la même dynamique que l'administration, l'industrie et les sciences; son organisation relève de la même structure sociale que les autres administrations. La mise en place de séries éliminatoires relève de la même logique que la loterie, qui fut l'un des tout premiers domaines à intégrer le mot "série" (Dictionnaire de l'Académie française, 1798). La notion de "série noire" est intéressante elle aussi parce qu'elle relève de la même culture populaire (ou plutôt: de masse). Boutique Naturellement: 2015. La "série noire" a désigné assez tôt (datation indéfinie, courant XIXe siècle) une suite d'événements marqués du sceau du malheur. L'expression a fait florès, un journal comme Aujourd'hui / Le Parisien en fait un usage des plus abondants!

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Nous obtenons par là - la fin d'une série noire pour l'om - un croisement de séries des plus intéressants, puisque cette "série noire" résulte d'une statistique [par déf. sérielle], doublée d'une loterie (je n'insiste pas) car, si je ne m'abuse, les groupes préliminaires sont sélectionnés au cours d'une loterie, le tout constitue un tableau (de séries, bien sûr), à l'intérieur duquel le supporter de l'OM croit lire une "série noire". El naturalista fin de série télé. On voit qu'il s'agit d'une chose peu banale que cette série noire car elles a des motivations discursives profondes. On voit également que la "série", si on l'étudie dans un cadre comme celui du football, ne revient pas à une idée mais à une agrégation de faits distincts et qui forment un réseau plus ou moins puissant et plus ou moins dynamique: dans le football, c'est un fantome de rationalité; dans le domaine de l'édition et de la télévision, au contraire, la "série" a fini par devenir une entité exorbitante! En musique, ça se calme, puisqu'on est au post-sérialisme.

Que produisent les séries dites « artistiques »? C'est-à-dire, que laissent-elles derrières elles? Ces questions doivent nous amener à adopter un point de vue qui se situerait à l'endroit où la fabrication sérielle a cessé de produire: sa fin, définitive et effective. Depuis cet endroit, qui peut tout à la fois être l'endroit d'un accomplissement, d'une apothéose, comme celui d'un accident ou d'un évanouissement, nous pouvons adopter deux points de vue: voir quelle œuvre a été produite, mais aussi voir ce qu'elle a laissé derrière elle, après elle. Aussi le terme « série » ne doit-il pas tromper sur ce qu'il désigne ici réellement: non pas les seules séries télévisées, ni non plus les seules sagas cinématographiques, qu'elles soient nommément identifiées comme franchise (Indiana Jones, Spiderman etc. Fin de série - Femme - Jules et Margot. ) ou non (les films de François Truffaut consacrés au personnages Antoine Doinel). Dans le champ audiovisuel, il semble se dégager deux acceptions du terme « série »: Il y aurait d'une part les œuvres segmentées (par épisodes, par films) dont chaque morceau participerait, sinon s'ajouterait à un ensemble donné comme entier (qu'il soit fini ou inachevé, accompli ou interrompu).

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