T'En Souviens-Tu, Mon Aimable Maîtresse – Évariste De Parny | Lapoésie.Org

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August 1, 2024

Je ne voudrais surtout pas te mettre une quelconque pression. Si je t'écris, c'est pour que tu saches ce que moi je ressens, ce que moi je désirerais, ce que moi j'imagine pour mon avenir. Pour le moment, nous arrivons à concilier notre passion et notre rôle de parent. J'ai hélas peur que cela ne puisse durer. Comment vivre cet amour sans faire du mal à nos proches? Cela est impossible, tu le sais tout comme moi. Peut-être est-ce égoïste, mais pourquoi devrait-on toujours penser aux autres avant nous-mêmes? Pourquoi serions-nous interdit de goûter aux vrais plaisirs de l'amour sans remords ni regrets? Odelette à sa maîtresse – Pierre de Ronsard | LaPoésie.org. On a toujours le choix dans la vie, et le mien est fait: je veux être avec toi, tout le temps, être à toi, entièrement. Seulement, je ne peux vivre cela tout seul. Et je ne peux pas non plus te forcer à tout quitter. Je n'en ai pas le droit et, de toutes façons, je voudrais que cette envie vienne de toi, non de moi. Je conçois parfaitement que tu aies besoin de temps pour envisager un pareil changement, mais je suis prêt à prendre tout le temps qu'il te faudra.

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Je restai frémissant: ce bruit mystérieux, C'était Dieu descendu des cieux. C'était ce Dieu puissant si grand et solitaire Qui venait oublier sa grandeur sur la terre. Dieu las et fatigué de sa divinité, Las d'honneur, de puissance et d'immortalité, Des éternels ennuis où sa grandeur l'enchaîne, Qui venait partager notre nature humaine. Il avait choisi l'heure où tout dort et se tait, Où l'homme, indifférent à tout ce que Dieu fait, Attaché seulement à ses soins mercenaires, Prend un peu de repos qu'il dérobe aux affaires. Poème amant maîtresse maitresse menteuse. Car c'était aussi l'heure où ce Dieu généreux Peut bénir et donner la main aux malheureux, L'heure où celui qui souffre et gémit en silence, Qui craint pour son malheur la froide indifférence, Délivré du fardeau de l'égoïsme humain, Sans craindre la pitié peut planer libre enfin. Dieu vient le consoler, il soutient sa misère, Il rend ses pleurs plus doux, sa douleur moins amère, Il verse sur sa plaie un baume bienfaisant. D'autres craignent encore un oeil indifférent, Et les regards de l'homme et les bruits de la terre.

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