Le Prophète (sur lui la paix et le salut) lui a alors annoncé qu'il était au Paradis et qu'il en avait atteint: « Al-Firdaws », le plus haut degré. La traduction: L'anglais L'espagnol. Le turc L'urdu L'indonésien Le bosniaque Le russe Le bengali Le chinois Le persan Tagalog Indien Vietnamese Cinghalais kurde Présentation des traductions
La mère musulmane à l'égard de ses enfants L'Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d'une société musulmane. Il s'agit ici d'un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d'un homme qui a sollicité le Messager d'Allah (sws): « O Messager de Dieu! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie? » Et la réponse du prophète fut très claire: « Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ». Ce Hadith ne vient que montrer alors l'importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l'Islam, une évidence absolue qui met l'accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l'accouchement et celle de l'allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d'amour et de compassion pour sa maman dans l'espérance qu'il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.
Sa mère vint alors au Prophète (sur lui la paix et le salut) afin de l'interroger sur le devenir de son fils. En effet, elle craignait qu'il ne soit pas parmi les martyrs, parce qu'il était mort d'un tir involontaire alors qu'il ne participait pas à la bataille. Ceci est stipulé dans le hadith suivant: « Il avait été tué à Badr, touché par une flèche perdue », c'est-à-dire: dont le tireur est inconnu ou dont on ne sait pas de quelle direction elle provient. Dans une version d'Aḥmad et d'An-Nasâ'î, Anas ibn Mâlik (qu'Allah l'agrée) a dit: « Hârithah était sorti pour guetter [c'est-à-dire qu'il était de ceux montés sur un endroit élevé afin d'observer l'ennemi et d'informer à son sujet] lorsqu'une flèche le toucha et le tua. » C'est pourquoi, elle a dit: « S'il est au Paradis, je patienterai », c'est-à-dire: j'accepterai sa perte et j'espérerai la récompense d'Allah, en me réjouissant du fait qu'il est mort dans la voie d'Allah et a gagné le martyr. « Sinon, je le pleurerai de toutes mes forces », car je l'ai perdu et il a bêtement perdu la vie.
D'après 'Ubâda (r), le Prophète (ç) dit: «Dieu fera entrer au Paradis celui qui atteste qu'il n'y a de dieu que Dieu, l'unique, qui n'a point d'associé, que Muhammad est Son adorateur et Son Messager, que Jésus est l'adorateur de Dieu, Son Messager, Sa Parole lancée à Marie et Son âme venant de Lui, que le Paradis est une vérité, que le Feu est une vérité. » Hadith rapporté par Boukhari (n°3435)
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