Référence CPB35 Carte postale bouddhiste ROUE DE LA VIE 10 x 15 cm Frais de port offerts en France métropolitaine sur tous les bijoux ou à partir de 80 euro d'achat Satisfait ou Remboursé Retour sous 14 jours ouvrés Produits expédiés de France sous 48H Eco friendly Nos bijoux argent sont neutres en carbone Photos contractuelles Vous achetez ce que vous voyez! (sauf mention contraire) 16 autres produits dans la même catégorie: Référence: PMAP9 Marque: Eveil Oriental Moulin à prières tibétain 11, 5 cm pierres fantaisie Moulin à prières tibétain 11, 5 cm pierres fantaisie et mantra Ce joli moulin à prières bouddhiste est serti de résine imitation turquoise et corail. Il est orné du mantra de Chenrezi et rempli de prières et mantras. Hauteur totale du moulin 11. 5 cm Diamètre du tambour environ 4, 5 cm Diamètre du socle 5 cm Poids environ 92 grammes Fabriqué au Népal khata Khata tibétain Khata tibétain en satin Nos khatas bouddhistes sont celles utilisées lors des cérémonies tibétaines.
Ces nobles vérités concernent la vérité de souffrance, de sa cause, de sa fin et du chemin; La roue du dharma avec 8 rayons. Ces rayons représentent un Noble chemin octuple ou encore le chemin de vie lié au bouddhisme. Cette route permet d'accéder à l'illumination. Il englobe l'intention, la parole, l'effort, la conscience ou encore la concentration; Une roue de Dharma avec dix rayons, ces derniers indiquent dix directions spirituelles indiquées par le Bouddhisme; Douze rayons signifiant les douze liens initiés par le Bouddha. Ces liens sont les formations sociales, l'ignorance, la conscience, les sens, les constituants d'un être vivant ou le contact. Ils intègrent aussi la saisie, la soif, la naissance, la renaissance ou encore la mort; Une roue avec 24 rayons qui représentent 24 qualités dont doit disposer un bouddhiste. D'ailleurs, elle est aussi connue sous le nom de roue d'Ashoka dans le bouddhisme. Signification de cette roue du Dharma dans le bouddhisme Dans le bouddhisme, le Bouddha, qui est un chef spirituel, était celui qui pouvait tourner la roue du Dharma.
D'un côté, il y a le type de conditionnalité cyclique, de l'autre, le type de conditionnalité spiral. D'un côté, il y a l'esprit réactif, de l'autre, l'esprit créatif. On peut soit stagner, soit croître. On peut soit rester assis et accepter la boisson des mains de la femme, soit refuser la boisson et se mettre sur ses deux pieds. On peut soit continuer à tourner passivement et sans espoir sur la roue, soit suivre le chemin, monter l'échelle, devenir la plante, devenir les fleurs. Notre destin est entre nos mains.
En termes de symboles, le Bouddha, assis sous l'arbre de la bodhi, vit deux choses. Tout d'abord, il vit une grande roue. Cette roue embrasse la totalité de l'existence conditionnée, elle est de même étendue que le cosmos, elle contient tous les êtres vivants. Elle tourne sans arrêt: elle tourne le jour et la nuit, elle tourne vie après vie, elle tourne ère après ère. Nous ne pouvons voir quand elle a commencé à tourner, et nous ne pouvons pour l'instant voir quand elle cessera de tourner: seul un Bouddha voit cela. Cette grande roue tourne autour d'un moyeu. Ce moyeu est fait de trois créatures: un coq rouge, picorant avidement le sol; un serpent vert, les yeux rouges brillant de colère; et un cochon noir, vautré dans la boue, plein d'ignorance. Ces trois créatures forment elles-même un cercle, et chacune d'elles mord la queue de celle qui la précède. Entourant le moyeu, qui forme le premier cercle de la roue, est un second cercle, plus large. Il est divisé verticalement en deux moitiés, l'une blanche et l'autre noire.
Dans la partie noire des êtres humains nus et enchaînés l'un à l'autre tombent la tête la première, avec des expressions d'angoisse et de terreur. Dans la partie droite, des êtres modestement vêtus, portant des cylindres mani (qui en Occident sont appelés de façon erronée des « moulins à prière ») et des offrandes religieuses se dirigent tranquillement vers le haut, avec des expressions heureuses et sereines. Ces deux parties représentent deux mouvements, deux tendances inverses à l'intérieur de la Roue, l'un centripète et l'autre centrifuge. Autrement dit, tandis que la partie noire représente un mouvement vers le moyeu de la Roue, la partie blanche représente un mouvement s'éloignant du moyeu et se dirigeant vers la circonférence - vers, ultimement, une libération de l'esprit réactif. Quoique constituant d'une certaine façon une étape du chemin, ou une partie de la spirale, la partie blanche forme toujours une partie de la Roue en ce sens qu'un retour en arrière, sous la forme d'un passage de la partie blanche vers la partie noire, peut arriver à tout instant.
Il y a cinq ou six segments selon que les dieux et les titans, qui sont en lutte perpétuelle, sont présentés ensemble ou séparément. Dans chacune des parties, la présence d'un bouddha de couleur différente représente la persistance de la possibilité de l'Éveil, même sous les conditions les plus adverses. Quoique les cinq ou six sphères de l'existence conditionnée soient généralement interprétées d'un point de vue cosmologique comme des mondes existant objectivement et qui sont aussi réels, pour les êtres qui les habitent, que notre monde l'est pour les êtres humains, elles peuvent néanmoins être aussi interprétées d'un point de vue psychologique comme représentant différents états de la vie et de la conscience humaines - une interprétation qui trouve une certaine approbation dans la tradition. Vue de cette façon, la sphère des dieux représente une vie de sécurité et de contentement, celle des titans une vie de jalousie, de compétition et d'agressivité, celle des esprits affamés une vie de dépendance névrotique et d'avidité, celle des êtres en enfer une vie de souffrance physique et mentale, celle des animaux une vie de barbarie et d' ignorance, tandis que la sphère des hommes représente un état d'existence mixte, sans prédominance de plaisir ni de souffrance.
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