MAI L M J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 JUIN JUILLET AOUT SEPTEMBRE DIMANCHES PRINTEMPS AUTOMNE 14h - 18h DIMANCHES ÉTÉ Ancien vestiaire, la salle des pendus tire son nom du système de poulies et de chaînes permettant aux mineurs d'y suspendre leurs vêtements. Cette installation était plus pratique que des armoires, car les habits ainsi suspendus séchaient plus rapidement; elle facilitait aussi le nettoyage des sols. Chaque mineur disposait de sa propre chaîne fermée à l'aide d'un cadenas.
Espace emblématique d'un carreau de fosse, la salle des douches ou "salle des pendus" était le vestiaire des mineurs qui pouvaient ainsi se changer et se laver sur place. Ils suspendaient leurs vêtements par des crochets et les hissaient à l'aide d'une chaînette. Lors de la réhabilitation de cet espace, le traitement architectural a été minimal. Les bancs et crochets d'origine ont été préservés et replacés dans la partie la plus ancienne de la salle. Une douche collective témoin, Les Lavabos, a également été conservée. Le Raviz'tout, espace situé au-dessus de la porte d'entrée d'origine de la salle des douches, a été aménagé sur la passerelle existante et permet de donner un point de vue original sur la salle et son système d'accroche. Au regard de sa superficie d'environ 800m2, de sa grande capacité d'accueil et de son aspect historique magnifiquement préservé, Les Pendus se révèlent, par excellence, un lieu d'expositions temporaires et de diffusion. Ses côtés latéraux sont désormais occupés par les bureaux de l'équipe.
La salle des pendus, n'est pas, comme son nom pourrait le laisser entendre, une salle pour personnes aux penchants suicidaires… La salle des pendus est en fait la pièce dans laquelle les mineurs se rendaient en début de journée pour troquer leur tenue de ville avec une tenue de travail. Pour ce faire, ils suspendaient leurs vêtements à des crochets situés en hauteur, et ne les récupéraient qu'une fois leur journée de travail terminé. Wikipédia, Salle des pendus Navigation de l'article
Cela pourrait être ceux du village d'à côté, car ma démarche ne repose sur aucun désir sociologique. Je ne veux manifester aucun attendrissement particulier pour les mineurs, même si ceux-ci ont eu des vies très dures… » Si Christian Boltanski a toujours dit que ce qui l'intéressait était la petite histoire et non la grande, si son but est de mettre en scène celles qui nous constituent, ont fait notre individualité, si ce petit savoir qui n'est pas dans les manuels est à ses yeux aussi important que le grand, si le rôle de l'artiste est de s'intéresser à cette fragilité et de chercher à nous émouvoir à travers elle, le pari est réussi! On ne ressort pas indemne des expositions de Boltanski. Son œuvre empreinte de spiritualité est totale que ce soit ici aujourd'hui au Grand-Hornu, à la Monumenta au Grand Palais en 2010, déjà dans l'ancienne prison Ste-Anne à Avignon en 1985 ou ailleurs: « Je pense que mon travail artistique est très proche de la démarche spirituelle, chrétienne même si je ne suis malheureusement pas du tout croyant… Ce qui est beau pour moi dans une lampe ou une bougie, c'est qu'elle évoque la vie, la force, le feu, etc. mais qu'en même temps, il suffit de souffler ou toucher l'interrupteur pour éteindre.
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