Alain Kilar et Joëlle Richard, deux photographes passionnés par le patrimoine architectural invitent les curieux à des "Promenades angéliques". Leur spécialité: la photographie aérienne de monuments européens et particulièrement les cathédrales gothiques. Installés à 36 mètres sous la voûte de la cathédrale de Bourges, les aventuriers de l'extrême nous offrent "le point de vue d'un ange. " Les cathédrales gothiques sont le terrain de jeu d'Alain Kilar et de Joëlle Richard. Ces deux photographes suisses sont tombés sous le charme de l'architecture flamboyante et cherchent à la montrer d'une manière totalement inédite comme un ange pourrait la voir. Cathédrale Photos et images de collection - Getty Images. Leur projet s'appelle " Les promenades angéliques" et il repose sur un équipement 100% maison, baptisé Séraphine. Rencontre à 36 mètres de haut, sous la voûte du vaisseau central de la cathédrale Saint-Etienne de Bourges Reportage: E. Bruzat / J. Roché / L. Vaury C'est à Chartres qu'Alain Kilar tombe amoureux de la grandeur des pierres. Au cours d'une visite de la cathédrale, le photographe observe ce qui l'entour.
.. Cathédrale, érigée à l'origine en 1671, mais reconstruite en 1890. En effet, aux 17 et 18ème siècles, plusieurs séismes et incendies la détruisirent totalement.
Chef-d'œuvre de pureté et d'équilibre, sa façade occidentale rend particulièrement lisible sa composition géométrique: sa division ternaire (trois portails, trois étages, etc. ), symbole de Trinité, son carré parfait (43 m de large sur 43 m de haut jusqu'à la base des tours), symbole du monde terrestre, et le cercle de la rosace centrale, symbole de l'infini et du divin. L'intérieur impressionne par l'ampleur du vaisseau central (128 m de long, 12 m de large et 33 m de hauteur maximale sous la voûte) et par la beauté des trois grandes rosaces.
Ouverture des inscriptions 2022! Courir à Nevers change de jour pour son édition 2021
La préméditation, elle, était avérée de ne plus travailler en équipe. Nous n'aurions plus qu'à nous retirer… Circulez, il n'y a plus rien à voir. Mais c'est mal nous connaître, l'envie de participer est essentielle, plus forte que les zizanies. Les Foulées vivent. Elles s'appellent autrement. C'est comme cela que ça se passe lorsque les gens divorcent, les noms changent et la vie continue… sportivement c'est mieux. Que vive Courir à Nevers (le nom est déposé! ), première du nom et 33e course. Jean-Philippe BERTIN. Courir à Nevers. Le partenariat entre la Ville de Nevers et Centre France, a pour objet la conception et l'organisation de la course pédestre « Courir à Nevers » qui aura lieu vendredi 26 et samedi 27 mai 2017. Cette double journée, à caractère sportif, promotionnel et touristique, se déroulera à Nevers avec comme centre névralgique le Parc Roger Salengro (départ, arrivée et village).
Les trois course adultes de Courir à Nevers ont rassemblé 731 arrivants, ce samedi 27 mai. Et sans doute un peu plus de participants, la chaleur ayant occasionné quelques abandons en cours de route. Cette épreuve, qui succède aux Foulées de Nevers, vivait sa première édition. Avec un parcours new-look, le long de la Loire, avant de revenir au parc Roger-Salengro via les jardins de la Porte du Croux et la rue du 14-Juillet. Ce parcours exigeant a sacré un Kenyan, Peter Komu, roi du semi-marathon. Nos photographes étaient présents tout au long de ces courses. Voici une sélection de leurs plus beaux clichés. Photos: Fred Lonjon et Christophe Masson
Le parcours est composé de 2 boucles d'environ 10, 5 km chacune. Départ Départ donné à l'heure, 18h30, les coureurs s'élancent sur un bon rythme, les deux premiers km sont en descente, le rythme est bon (un peu plus de 5min/km -> 12km/h). Km 5 De bonnes sensations et plutôt étonné j'avale les 5 premiers km en 26:30 sur une allure de 05:18 min/km, la chaleur est présente mais nous courons au bord de Loire et sous les arbres. Peu de supporters mais ceux qui comptent sont présents 😀 Km 7 Je reconnais un prof de sport qui m'a coaché en UNSS! Ça fait plaisir de voir des têtes connues sur le parcours et par hasard! Km 10 Presque la moitié de fait! Les deux derniers km montent dur, pour retourner dans le parc et finir la première boucle. Je boucle ces 5 km en 28:23 sur une allure de 05:41 min/km ce qui me laisse entretenir l'espoir de faire un petit chrono. Au cumulé nous en sommes à 55 min. Un chronométreur m'annonce que je suis 55ème à la mi-course. Pas mal. Km 13, la petite compote qui fait plaisir Km 15 Difficile.
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