Bons plans Pour prendre le métro à New York, vous devrez passer un tourniquet. Smain vous montre comment faire avec une vidéo. Les portiques métalliques dans le métro de New York. (Photo DR) Pour prendre le métro de New York, vous devrez d'abord commencer par acheter un billet ou une MetroCard, des titres de transport qui se présentent sous la forme de cartes avec bande magnétique. Il ne vous restera plus alors qu'à passer la carte dans le tourniquet pour commencer votre trajet. Mais plutôt qu'un long discours, lancez la vidéo ci-dessous pour voir la démonstration proposée par Smain Stanley:
Le ticket étant encore dans la machine, le portillon ne s'est pas ouvert. Il a donc décidé de sauter par-dessus ". Un moment qui marquera fortement l'opinion, et qui restera l'un des moments cultes de la vie publique de Jacques Chirac. Une photographie qui va marquer les esprits Dès le lendemain, ces clichés insolites sortent dans la presse, et vont marquer durablement l'opinion. À quelques mois de la présidentielle de 1981, c'est l'image d'un Jacques Chirac dynamique et conquérant qui va rester dans les esprits. Comme l'écrit Jean-Félix de Bujadoux, dans son article " Jacques Chirac ou la transgression en mouvement ": " Ce qui transparaît de ce cliché, au moment où il est publié, c'est donc bien davantage la vitalité, l'énergie d'un Jacques Chirac toujours en mouvement, que l'éventuel acte délictueux en lui-même ". D'autant plus que Jacques Chirac se remet, à l'époque, d'un grave accident de voiture survenu en 1978 en Corrèze et, selon Jean-Félix de Bujadoux cette photo "démontre qu'il a retrouvé tout son dynamisme légendaire ".
Elles présentent néanmoins l'avantage de ne plus avoir de contact physique avec la personne contrôlée. Usages [ modifier | modifier le code] Leurs multiples formes rendent leurs possibilités d'usage très variées. Ils servent soit au comptage des personnes, soit au contrôle de l'unicité de passage, soit à un contrôle d'accès. Dans ce second cas, ils possèdent un dispositif de contrôle qui vise à vérifier que la personne a bien le droit de passer par cet accès (a-t-elle payé son titre de transport? est-elle habilitée à entrer dans telle zone de l'entreprise? ). Les options de contrôle sont aussi étendues que variées: piste magnétique (le « traditionnel » ticket de métro), code-barres, radio-identification (technologie Calypso par exemple), biométrie, etc. Reliés à une base de données, les portillons de contrôle d'accès sont aptes à recueillir un certain nombre d'informations. Une fois consolidées, des données telles que la fréquentation d'un endroit selon l'heure de la journée ou selon la période de l'année peuvent devenir un outil décisionnel très précieux.
Louis de Funès en 1943 alors qu'il travaillait comme pianiste de bar. Photoshistos Des gens viennent le déposer sur la tombe de Gainsbourg L'année 1973 est un tournant dans l'histoire du métro parisien. Des tourniquets automatiques - « des appareils de contrôle automatique armés de bras tripodes », comme on les décrit à l'époque - sont installés, rendant inutile la profession de poinçonneur. Les plus âgés prendront leur retraite et les autres deviendront agents de station. Ce métier serait aujourd'hui oublié si Charles Gainsbourg ne l'avait pas immortalisé dans sa chanson Le Poinçonneur des Lilas. Le jour de l'inhumation du chanteur, en clin d'œil à cette chanson, sa tombe, au cimetière Montparnasse, est recouverte de tickets de métro. Depuis, des gens continuent tous les jours à en déposer sur sa tombe, avec une foule d'autres objets hétéroclites: briquets, paquets de cigarettes, poèmes... À VOIR AUSSI - Qu'est-ce-que le «pass navigo easy»? Il était branché Le ticket « chic et choc », ça vous dit quelque chose?
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