Le sujet du jour. Elle avait 12 ans à l'époque du crash. Bahia Bakari est l'unique survivante du crash du vol Yemenia 626. Le 30 juin 2009, un Airbus A310 de la compagnie aérienne s'abîme en mer au large de Moroni, la capitale des Comores, peu avant son atterrissage. Il y a 153 passagers à bord, dont 66 Français. Bahia sera l'unique survivante. Elle restera accrochée durant onze heures à un débris de l'appareil en pleine mer. Sur RTL, la jeune femme a raconté cette journée durant laquelle son destin a basculé. Pourquoi on en parle? L'avion de Yemenia Airways n'aurait sans doute jamais dû décoller. Avec ses yeux d'enfant, Bahia avait remarqué qu'il y avait quelque chose qui clochait. Treize ans après l'accident. Le festival "La rue est à vous" réussit sa première édition - midilibre.fr. La compagnie aérienne est jugée pour homicides et blessures involontaires devant le tribunal correctionnel de Paris. Témoignage. "J'ai senti une turbulence mais personne autour de moi semblait s'en étonner. On nous a annoncé qu'on allait atterrir. Les hôtesses sont passées pour vérifier les ceintures.
Commémorer et entretenir le souvenir, voila donc le parti pris du musicien guadeloupéen Gilbert Coco. Avec sa nouvelle création, il nous propose une plongée dans un évènement qui a marqué et bouleversé toute une génération et la Guadeloupe toute entière. Raconter et réhabiliter le nom des victimes telle est la mission que s'est donnée Gilbert Coco. A l'époque des faits, il n'était alors qu'un jeune homme. Ch. Martial • Publié le 26 mai 2022 à 07h00, mis à jour le 26 mai 2022 à 11h01 Pour trancher avec la violence des faits, la création de Gilbert Coco s'exprime dans une certaine douceur. Comme un chapelet, le musicien guadeloupéen égrène les noms. Les noms de ceux qui sont tombés sous les balles. Raconter une histoire d'accident. De ceux qui ont payé dans leur chair la répression. La musique se fait alors plus rapide, ciselée Gilbert Coco Une œuvre, pour le souvenir mais aussi une œuvre pour rappeler au peuple de Guadeloupe ses luttes, ses espoirs et ses combats. Une chanson et un clip que Gilbert Coco nous offre a tous, comme une espérance au service de ce que nous sommes.
Oui, elle a vu les yeux de Tallinn blanchis pendant son lien d'esprit avec Picard, et oui, elle a vu un équipement médical futuriste rayonné de l'éther. Mais Rios aurait sûrement pu trouver une excuse qui ne l'impliquait pas rayonnant le médecin – et son jeune fils – sur la Sirena pour une visite d'un vaisseau spatial du XVe siècle. Dans une saison qui a déjà exprimé son inquiétude quant à la modification des «papillons», cela semble être une décision invraisemblablement discutable. Crash de la Yemenia Airways : l'incroyable histoire de Bahia Bakari, l'unique survivante. (Malgré cela, la remarque de Rios selon laquelle «je viens du Chili. Je travaille juste dans l'espace» est un joli clin d'œil à Star Trek: The Voyage Home, où Kirk a dit de grandir dans l'Iowa. ) L'épisode enregistre cependant sa torsion le plus gauche pour la fin. Stimulé par le nouveau BFF Tallinn – qui a maintenant révélé les oreilles romuliennes de son vrai moi – Picard a réalisé que la branche des lacunes de son histoire familiale pourrait être la clé pour sauver l'avenir. « Il n'y a pas de meilleur enseignant que son ennemi », se souvient-il, avant de raisonner que gagner un public avec Q peut être le seul moyen d'obtenir les réponses dont il a besoin.
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