Actualité Après plusieurs mois d'investigation, le verdict est tombé, le 26 mai, quant à l'affaire de l'ex ministre espagnole des Affaire étrangères, Arancha González Laya, accusée par son chef de Cabinet, Camillo Villarino, d'être derrière l'entrée frauduleuse de Ghali sur le sol espagnol. Détails. Le tribunal de Saragosse a classé, jeudi, l'affaire concernant l'entrée illégale en Espagne du chef du Front Polisario, Brahim Ghali. Une décision qui disculpe Arancha González Laya, origine de l'une des plus grandes crises diplomatiques entre le Maroc et l'Espagne, de toute responsabilité pénale. La justice espagnole a rejeté le recours formulé par le ministère public contre le non-lieu à l'égard de l'ancien chef du cabinet González Laya, considérant l'entrée du dénommé Brahim Ghali comme un « acte politique et gouvernemental », a indiqué El Mundo. Le tribunal a, ainsi, souligné que le juge d'instruction a établi que González Laya avait délégué à son ancien chef de cabinet les pouvoirs d'organiser l'opération de transfert de Brahim Ghali de la base aérienne de Saragosse à l'hôpital de Logroño, pour des soins liés à son infection au coronavirus, mais exclut qu'ils aient eu connaissance de l'existence d'une réquisition de l'Audiencia Nacional contre le patient.
Une affaire qui a choqué le pays en 2016 Ce texte introduirait ainsi la notion de consentement sexuel explicite dans la loi: s'il n'est pas exprimé clairement par les personnes, cela pourrait être considéré comme un viol. La loi permet également d'interdire la publicité qui fait la promotion de la pornographie. Le désir d'introduire la notion de « consentement sexuel explicite » dans le Code pénal date de 2018, après la polémique née de l'affaire dite de « La Meute ». Cinq hommes avaient été condamnés à neuf ans de prison pour « abus sexuels » (et non pour viol en réunion) sur une jeune femme de 18 ans lors des fêtes de Pampelune, en 2016. Le verdict de l'affaire et la remise en liberté des individus avaient provoqué la colère de nombreux Espagnols. En 2019, la peine avait été requalifiée par le Tribunal suprême espagnol: la plus haute instance judiciaire espagnole avait aggravé à 15 ans de prison les condamnations prononcées contre ces cinq hommes en requalifiant les faits de « viol »
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