« Une maladresse », « une faute d'inattention » Depuis, il est obligé tous les jours de « se pincer » pour y croire tellement il a été « sidéré » par l'attitude de son supérieur. « Je n'en dors plus, je suis épuisé », lâche-t-il. Contacté, Mgr Bataille n'était « pas disponible » ce jeudi pour nous répondre. Dans son entourage, on précise qu'il « n'a pas réglé tous les détails » de cet hébergement et qu'il a missionné son « équipe » qui, elle, n'était « pas au courant de la situation de victime » du prêtre. On reconnaît néanmoins « une maladresse », « une faute d'inattention » dont l'évêque a « pleinement conscience ». « Il en est sincèrement désolé », répète le directeur de communication. Mercredi soir, Mgr Bataille a, dans un courrier, directement demandé pardon à l'intéressé pour l'avoir autant blessé. Père alexandre prince william. « Pour la première fois, il a fait preuve de compassion. Jusqu'à présent, je n'avais jamais ressenti d'empathie. Je n'existais pas pour lui. Il y avait un manque radical d'estime, une sensation de mépris, une incapacité à reconnaître la souffrance », décrit-il.
L'arrivée de ce nouveau porteur dans la société de Steeve Alexandre s'accompagne parallèlement de l'embauche d'un garçon de 18 ans; ce qui porte à trois le nombre de salariés qu'il emploie. Quatre CAP dans le domaine de la menuiserie Steeve Alexandre a travaillé dix ans avec son père avant de lui racheter la moitié de l'entreprise. « Si tout va bien dans deux ou trois ans, je reprendrai la seconde moitié », espère Steeve. Père alexandre pince oreilles. « Ainsi, mon père prend tout doucement le chemin de la retraite. » Avec Steeve Alexandre, c'est la quatrième génération d'Alexandre qui travaille dans le bois. Steeve possède quatre CAP dans le domaine de la menuiserie mais, alors qu'il avait 19 ans, son père a eu besoin de lui comme chauffeur pour faire face à du travail en commande: « Le travail m'a plu! ».
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