- Mon retour à la terre: Guide du néo-rural - - Livres | Retour à la terre, Permaculture, Arbre fruitier
59 Mbps Vous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur Mon retour à la terre: Guide du néo-rural. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter ou de lire ce livre. Nombreux sont les citadins lassés de la vie trépidante des grandes villes qui rêvent de retourner à la terre de s'installer à la campagne et tels Candide d'y cultiver leur jardin et de vivre de ses productions. Mais du rêve à la réalité il peut y avoir plus que de la coupe aux lèvres. D'où l'intérêt de ce guide qui présente avec une grande honnêteté et avec une belle expertise tous les aspects du problème d'un reconversion de ce type. Mon retour a la terre guide du neo rural de. Nicolas Fabre ne cache pas qu'il n'est pas évident pour un citadin candidat au néo-ruralisme de se faire accepter par les autochtones du cru. Toute sa vie il restera l'étranger le « Parisien » ou le « horsain » (en Normandie). de même la recherche de l'autonomie intégrale ou partielle est un long chemin plus semé d'embûches que de roses. Les élevages de chevaux vaches chèvres moutons et autres sont abordés sans en cacher toutes les difficultés.
Juste un rapide survol de très haut. Et quand on s'y connait un peu, comme c'est mon cas pour l'apiculture, on s'aperçoit que le peu (2 pages!! ) qui est dit sur le domaine n'est qu'une suite de banalités sans intérêt. Avec je trouve en plus par là dessus un petit ton condescendant, aucun humour, des phrases toutes faites du genre "'il est bien reconnu que... Mon retour a la terre guide du neo rural français. ", et on se demande bien par qui, des "il serait temps de faire ci, faire ça". On n'est parfois pas loin du "YakaFaukon". Quand à savoir ce qu'il fait concrètement lui sur son domaine à 250 000 euros, ne comptez pas le savoir en lisant le livre. Bref, vous l'avez compris: brouillon, ni fait ni à faire, très décevant, de l'énergie et du papier dépensés en pure perte, contre productif.
3. 12 / 5 4 notes Résumé: Tout quitter et partir, qui n'en a rêvé parfois? Vivre avec les saisons, avoir de l'espace, voir ses enfants courir, heureux et crottés, les joues roses et le regard vif dans l'air frais d'un matin d'automne, échapper au bruit des villes, aux transports en commun bondés, aux bouchons, à la pollution: qui n'aurait pas un jour donné cher pour y arriver? Que l'on craigne un effondrement économique ou qu'on ne le craigne pas, retourner à la campagne, devenir le plus... > Voir plus J'ai acheté ce livre dans une librairie dédiée à la permaculture (17€) moins cher que sur Amazon. Ce Nicolas Fabre m'a l'air d'être un abject personnage, suffisant, prétentieux et sexiste qui plus est... Mon retour a la terre guide du neo rural le. Il aurait certainement mieux fait de rester à Paris à travailler dans la finance et prendre des drogues... Le fait qu'il soit également partisan de Soral (un antisémite qui s'assume, tête pensante de Dieudonné) en dit long... En bref, la Permaculture c'est bien, quand elle ne soutient pas des incitations au sexisme et à la haine, c'est mieux.
Vivre avec les saisons, avoir de l'espace, voir ses enfants courir, heureux et crottés, les joues roses et le regard vif dans l'air frais d'un matin d'automne, échapper au bruit des villes, aux transports en commun bondés, aux bouchons, à la pollution: qui n'aurait pas un jour donné cher pour y arriver? Mon retour à la terre : Guide du néo-rural von Fabre Nicolas PDF herunterladen - Livres gratuits. Que l'on craigne un effondrement économique ou qu'on ne le craigne pas, retourner à la campagne, devenir le plus autonome possible, n'est ni une fuite ni même un refuge, c'est avant tout décider de changer de rythme, de modifier ses priorités, de donner un sens différent à sa vie. Pratiquant la permaculture depuis plus de dix ans, Nicolas Fabre fut un de ces jeunes citadins qui aurait pu continuer une vie sans véritables soucis, oubliant dans la fête, la fumée ou l'alcool, le vide de son existence. Pour lui, tout quitter et partir, c'était ne rien quitter en réalité, c'était pouvoir, en se confrontant à la nature, se confronter à lui-même, tirer sa subsistance de son seul travail, apprendre durement parfois ce que des générations d'hommes ont su, tout en découvrant des techniques nouvelles; c'était s'enraciner dans une terre pour vivre enfin debout.
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