Si le sinistre a été maîtrisé par les soldats du feu, les secours ont dû faire face à un risque d'effondrement d'un mur attenant à une habitation de la grange en feu. Un périmètre de sécurité a été mis en place. La charpente de la grange détruite par les flammes, menaçait également de s'effondrer. Un maçon est venu évaluer dans l'après-midi le risque d'effondrement du mur. Céaux d'Allègre: Accidenté et alcoolisé au volant Un accident impliquant un seul véhicule s'est produit jeudi en fin d'après-midi, vers 18 h 30, à Céaux-d'Allègre, au lieu-dit Freycenet, sur la RD 134. Le conducteur, un homme âgé de 46 ans et seul à bord, a été très légèrement blessé. En revanche, le dépistage d'alcoolémie réalisé par les gendarmes s'est avéré positif. Le son g en ce moment meme. Le quadragénaire a été emmené à l'hôpital Émile-Roux au Puy-en-Velay. Une prise de sang devait permettre de déterminer son alcoolémie. n Yssingeaux: Début d'incendie sur le bloc-moteur Mercredi vers 11 h 45, un début d'incendie s'est déclaré sur un véhicule à hauteur du chemin des Amandiers à Yssingeaux.
« Les effets militaires retrouvés sur place, les images détenues par nos forces armées ainsi que les témoignages recueillis auprès de nos populations démontrent en suffisance que que le M23 est soutenu par l'armée Rwandaise. Cette attitude récidiviste vise clairement à torpiller nos efforts de pacifications engagés dans le cadre du processus de Nairobi », a déclaré le ministre Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement congolais, lisant le compte-rendu de la réunion du Conseil supérieur de la défense. Ainsi Kinshasa décide d'exclure le M23 du processus de dialogue de Nairobi et met en garde le Rwanda pour ses velléités visant à perturber un processus qui tend d'après le gouvernement congolais, vers son aboutissement. Le son g en ce moment. « Le M23 est considéré comme un mouvement terroriste, il sera désormais traité comme tel, et de ce fait, il est exclu du processus de discussions de Nairobi. Une mise en garde est faite au gouvernement Rwandais dont l'attitude est de nature à perturber le processus de paix qui arrive pratiquement à son terme avec une discussion de Nairobi où tous les groupes armés à l'exception du M23 se sont engagés sur la voie de la paix », a ajouté le ministre Patrick Muyaya.
Initié fin avril dernier par Félix Tshisekedi sur recommandation des chefs d'Etat de la Communauté des Etats de l'Afrique de l'Est, le processus de Nairobi est un dialogue entre le gouvernement congolais et les groupes armés dans l'objectif de parvenir à un désarmement et démobilisation de combattants pour un retour de la paix en RDC. Après la première phase des consultations avec les groupes armés, entre le 22 et le 28 avril à Nairobi, une délégation conjointe de la présidence de la RDC et l'ambassade du Kenya s'est rendue pendant dix jours au Nord et Sud-Kivu ainsi qu'en Ituri pour échanger avec les groupes armés et les leaders communautaires. Soutien de l'Union Européenne au processus Au cours d'une séance de travail avec les ambassadeurs de l'Union européenne accrédités dans la capitale congolaise vendredi 27 mai dernier, le mandataire spécial du Chef de l'Etat, le professeur Serge Tshibangu a fait savoir que « les représentants des 56 groupes armés et 40 leaders communautaires rencontrés se sont montrés favorables au processus » de Nairobi.
Le président Félix Tshisekedi a présidé ce vendredi 27 mai la réunion du Conseil supérieur de la défense élargie aux présidents de deux chambres du parlement, au représentant du pouvoir judiciaire et au responsable des services de sécurité à la suite du développement rapide ces derniers jours des combats entre l'armée et la rébellion du M23 dans les territoires de Rutshuru et de Nyiragongo (Nord-Kivu). Au nombre des mesures conservatoires prises lors de cette réunion figure la suspension des vols de Rwandair en RDC. Lire aussi: La RDC confirme le soutien de Kigali au M23 et annonce notamment la suspension des vols de Rwandair sur son territoire et la convocation de l'ambassadeur du Rwanda Ivan Kasongo
Le fondateur d'OnlyFans se lance à son tour sur le marché des NFT avec une nouvelle start-up baptisée Zoop. Elle commercialisera des jetons non fongibles basés sur des célébrités et des influenceurs. À partir de cet été, il sera possible d'acquérir des NFT 3D à l'effigie de personnalités sur la plateforme Zoop. Les utilisateurs pourront y acheter des jetons, les vendre et les échanger. Le concept, qui ressemble aux cartes de joueurs mais avec des célébrités et des influenceurs à la place, permettra aux clients de posséder des items virtuels rares. Au lancement, les NFT seront limités à 500 « cartes » par influenceurs. Pour les fans de web3 Cette rareté relative permettra peut-être aux NFT de prendre de la valeur. Le passage salutaire de Jordan Poole en G-League | NBA. Zoop précise que ses jetons bénéficieront d'une licence officielle, mais la start-up n'indique pas si les influenceurs auront leur mot à dire dans la création de leurs NFT et de quelle manière ils seront impliqués dans leurs communautés. La plateforme a néanmoins l'intention de cultiver une connexion plus étroite entre les fans et les personnalités.
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