Exemple: Les loyers annuels relatifs au contrat de crédit bail sont de 100 000 euros. Le terrain a été acquis 60 000 euros. Le prix de la levée d'option stipulé dans le contrat est de 30 000 euros La somme des loyers non déductible sera égale à 60 000 - 30 000 = 30 000 euros. Ainsi, au cours de la dernière année, le montant du loyer déductible sera de 100 000 - 30 000 = 70 000 euros. Bien évidemment, le crédit preneur ne peut amortir les locaux car il n'en a plus la propriété. Après la levée d'option Un certain nombre de réintégrations sont à effectuer au jour de la levée d'option. Ainsi, la fraction des loyers antérieurement déduits à réintégrer est égale à la différence entre: la valeur de l'immeuble lors de la signature du contrat, diminuée du prix de levée d'option et les amortissements techniques que le preneur aurait pu déduire s'il avait été propriétaire de l'immeuble pendant la période au cours de laquelle il a été titulaire du contrat En outre, le montant de la réintégration ainsi déterminée est diminué des quote-parts de loyers non déductibles.
Toutefois, certains contrats de crédit bail stipulent que la taxe sera mise à la charge du locataire) En revanche, le redevable de la cotisation foncière (qui remplace la taxe professionnelle) est le locataire qui a disposé de l'immeuble pour l'exercice de sa profession. Cette règle s'applique pour les contrats de crédit bail.
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