30/05/2022 05:31 | AFP | 77 | Aucun vote sur cette news Des proches des passagers de l'avion accidenté au Népal, le 29 mai 2022 à Pohkara ( PRAKASH MATHEMA / AFP) Les secours ont retrouvé lundi l'épave de l'avion de passagers disparu au Népal, a annoncé un responsable militaire, sans donner de détails sur les 22 personnes, dont deux Allemands, qui se trouvaient à bord. "Une équipe de secouristes a localisé l'épave de l'avion et a partagé une photo. D'autres équipes s'y rendent d'obtenir plus de détails", a déclaré le porte-parole de l'armée népalaise, Narayan Silwal. Une photo partagée par M. Silwal sur Twitter montre des débris d'avion éparpillés sur le flanc d'une montagne. Le numéro d'immatriculation 9N-AET est clairement visible sur ce qui semblait être un morceau d'aile. Les opérations de recherche ont repris lundi matin après avoir été interrompues dimanche à la tombée de la nuit. L'appareil comptait 19 passagers -dont deux Allemands, quatre Indiens et dix Népalais- ainsi que trois membres d'équipage.
Obus et missiles pleuvent sur les villes ukrainiennes depuis le début de la guerre, prenant des vies mais endommageant également des immeubles historiques. Les services culturels cherchent à conserver leur mémoire avec de la technologie de pointe et des scans en 3D. L'ingénieur français Emmanuel Durand, spécialiste de l'acquisition de données en 3D, franchit un enchevêtrement de poutres, marche sur d'innombrables gravats pour aller planter son scanner-laser, une sorte de trépied avec une tête pivotante, à un coin stratégique de la caserne de pompiers. Celle-ci a été très endommagée par les frappes russes. Construit en 1887, l'édifice en briques rouges avec sa tour de surveillance est emblématique de la révolution industrielle de Kharkiv à la fin du 19e siècle. Avec son appareil, Emmanuel Durand "enregistre" le bâtiment sous toutes ses coutures. "Le scanner prend 500. 00 points à la seconde. Sur cette station, on va avoir 10 millions de points. Ensuite, on va changer de station et faire tout le tour du bâtiment, extérieur comme intérieur.
Des élèves n'ont pas pu venir aujourd'hui parce que les parents avaient peur qu'ils soient reconnus par des gangs de rue. Et on a beau expliquer aux parents qu'ils allaient avoir une sécurité, ils ont vraiment peur», raconte Marisa Thibault, enseignante à l'école primaire Marie-Rivier. Pour le policier à la retraite André Gélinas, il est inconcevable que des gens vivent ainsi dans la peur. «On ne peut pas vivre dans une société où les gens ont la crainte de se faire tirer, de se faire tuer. Il faut absolument que nos dirigeants comprennent c'est quoi la solution de ça. Il faut que le gouvernement aussi cible les bonnes choses, c'est-à-dire les armes illégales qui rentrent à l'intérieur du pays», plaide-t-il. Le groupe de manifestants réclame des actions concrètes de la part des deux paliers de gouvernement, dont un meilleur contrôle aux frontières pour éviter que des armes à feu illégales entrent au pays. Plus d'activités et d'encadrement pour les jeunes sont aussi demandés par les participants puisque, selon eux, lorsque les adolescents s'ennuient, ils peuvent être davantage tentés de rejoindre les gangs de rue.
Une sortie inédite depuis l'invasion russe de fin février. « Nous défendrons notre terre jusqu'au bout. Ils n'ont aucune chance », a déclaré Volodymyr Zelensky dimanche, allant à la rencontre de militaires sur le terrain, en gilet pare-balles et treillis, et visitant les décombres de bâtiments détruits à Kharkiv. À LIRE AUSSI La mauvaise passe de Vladimir Poutine En outre, les tentatives de médiation entre Moscou et Kiev sont au point mort. Ce week-end encore le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz ont eu un entretien téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine, lui enjoignant d'entamer des « négociations directes sérieuses » avec Kiev. Plusieurs villes ukrainiennes pilonnées par l'armée russe Les forces russes, qui se sont repliées de la région de Kharkiv, ont continué leur progression ce week-end en direction des villes clés de Severodonetsk, pilonnée sans relâche, et Lyssytchansk, sa ville jumelle, dans le Donbass. Situées de part et d'autre de la rivière Severski Donets, elles sont menacées d'encerclement par les forces russes et les séparatistes prorusses, qui cherchent à établir un contrôle complet sur le bassin minier du Donbass.
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