Ce plan doit encore passer en Conseil où siègent les États membres, dont bon nombre sont des constructeurs. « Rien de ce qui a été présenté aujourd'hui ne sera facile, ce sera même sacrément difficile », avait pronostiqué le 14 juillet Frans Timmermans, vice-président exécutif chargé de l'environnement. Diaporama - 10 voitures thermiques passées à l'électrique. Un éclair de lucidité? Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement: La voiture thermique roulera toujours en 2050 97 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
L'impact actuel de la pollution automobile, en réduction constante comparée à celles des autres transports, est calculé sur le parc roulant et donc avec une majorité de véhicules anciens plus émetteurs de gaz nocifs. Mais tout n'est pas perdu, même s'il semble bien qu'Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, se soit grisée d'un projet en 12 points dont elle assure qu'il préserve « la nature et place l'emploi et l'équité sociale au cœur de cette transformation verte ». C'est tout le contraire. Certaines voitures thermiques interdites à la vente en 2030 ?. L'exécutif européen craint en effet une hausse du chômage avec la perte de 100 000 emplois dans la filière et une distorsion sociale, car l'électrique est un véhicule très cher malgré les indécentes subventions dont on l'arrose. Lire aussi « La voiture électrique, un équipement pour ménage nanti » Pour ménager la transition propre, il est peut-être utile en ville (son bilan environnemental global n'est pas démontré), mais doit figurer comme une composante supplémentaire des transports actuels et non comme un plan de substitution obligé.
Tout comme Stellantis (groupe PSA et de Fiat Chrysler), Honda Motor, Nissan Motor, BMW et le sud-coréen Hyundai Motor. Des entreprises ont également rejoint l'accord, comme les sociétés Uber et Leaseplan, dont l'usage voiture est au cœur de leur modèle économique.
Avec cette base technique, le constructeur jouirait donc d'une certaine flexibilité pour adapter sa gamme aux évolutions de la réglementation et du marché dans les différents pays où il opère. Reste à savoir si le pari de cette stratégie à contre-courant se révélera gagnant. Publié le 18/01/2022 Mis à jour le 19/01/2022
Une trentaine de pays et une dizaine de constructeurs automobiles se sont engagés mercredi à arrêter la production de véhicules thermiques d'ici 2040. Mais ni la Chine, ni les États-Unis, ni la France ont signé l'accord, conclu à l'occasion de la Cop 26. Une voiture électrique en train de recharger le 27 juillet 2021. © Maxppp / Jean-Luc Flémal Une promesse de plus prise lors de la COP 26 de Glasgow en Ecosse. Plusieurs constructeurs automobiles et des pays ont accepté mercredi de cesser progressivement la production de voitures thermiques d'ici 2040, pour diminuer les émissions de carbone et lutter contre le changement climatique. Mais de gros pays et des constructeurs d'envergure manquent à l'appel. Le transport routier représente 15% des émissions mondiales de CO2. En France, selon le gouvernement, "la pollution de l'air est responsable de 48. 000 décès par an et le trafic routier de 30% des émissions de particules". Voiture thermique bmw 2017. Une trentaine de pays... En tout, une trentaine de pays se sont engagés à bannir les voitures thermiques d'ici 2040 pour ne vendre, à terme, que des voitures neuves zéro émission.
Étiquettes
Sitemap | wwropasx.ru, 2024