De La Rue Des Souabes, À La Rue… Des Zouaves

Sage Pour Noel
August 1, 2024

L'intersection des rues St-Gabriel et des Zouaves dans le quartier St-Jean-Baptiste en hiver. On y voit une enseigne Coca Cola, des passants et la rue St-Jean en arrière-plan. Photographie prise le 14 mars 1953. Source: Ville de Québec En 1953 et 1963, au coin de la rue des Zouaves et de Saint-Gabriel, on trouve l'épicerie Ricard (photographies ci-dessus et ci-dessous). L'Épicerie Ricard à l'intersection des rues St-Gabriel et des Zouaves. Photographie prise le 14 décembre 1963. Source: Ville de Québec De nos jours, elle n'existe plus, et la rue est totalement résidentielle. Photographie mai 2016 On trouvait, rue des Zouaves, le café-restaurant Sainte-Julie, qui tirait son nom de la rue Sainte-Julie, qui fut rasée lors des « rénovations » urbaines des années 1960-1970. Ayant déménagé tout en conservant son nom, il était opéré par Paul de Andrade, un homme d'origine portugaise. Café Ste-Julie, repas complets. Photographie prise le 4 mai 1978. Source: Ville de Québec. Perspective de la rue des Zouaves (Marc Boutin).

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En 1918, la « Seelosgasse », du nom d'une célèbre famille de jardiniers du XIIIe siècle, les Seelos, a été traduite par… « rue Déserte ». La « rue des Zouaves » est une mauvaise traduction de Souabes: elle s'appelait jadis la « rue des Souabes » ( d'Schwowegass). Pour finir, citons l'« impasse des Craquelins », une mauvaise traduction de Bretzel. En effet, cette impasse s'appelait autrefois « Am Brettstelle Eck », qu'on pourrait traduire en français (trivial) par « Le coin à putes », Bretschtel (ou Brettstel) pouvant signifier prostituée dans le langage populaire alsacien. La raison de ce dévoiement est probablement à chercher dans les fantasmes populaires où le bretzel, en raison de sa forme arrondie, était censé symboliser le postérieur. Ainsi, au XVIIe siècle, pour marquer leur opposition à l'annexion française, les Alsaciennes montraient leur postérieur à chaque fois que les Français passaient devant leur maison. Ces démonstrations d'hostilité étant ensuite sévèrement réprimées, elles choisirent de leur offrir narquoisement des bretzels [1].

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Ce dernier est partiellement détruit par un incendie en 1962. Il est finalement démoli en 1965. C'est en 1908 que la rue Jupiter, qui conduisait à la halle depuis la rue Saint-Jean, a été rebaptisée la rue des Zouaves. 4. La cité québécoise du pape Piopolis vers 1950, tiré de «L'ermite du Lac-Mégantic». En 1871, un groupe de 14 vétérans établissent une colonie agricole sur la rive ouest du lac Mégantic. Cette nouvelle paroisse se nomme alors Saint-Zénon-de-Piopolis. C'est que lors de leur expédition vers Rome, chaque zouave portait une relique de saint Zénon, réputé pour ses miracles. En 1880, ce hameau devient Marston. Ce n'est qu'en 1958 que la municipalité devient Piopolis, littéralement la «Ville de Pie» (le pape Pie IX). L'endroit existe toujours aujourd'hui et compte environ 360 habitants. 5. Les zouaves et le drapeau de Carillon Les zouaves escortant le drapeau de Carillon le 24 juin 1968, collection Albert Dorval. Le 8 juillet 1758, Montcalm et ses hommes remportent une éclatante victoire au fort Carillon à Ticonderoga.

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Sur la page montre le schma du passage et de l'emplacement de Rue des Zouaves, sur le plan de la ville de Strasbourg. Le image satellite permet de voir à quoi ressemble le bâtiment et la région environnante. Une photo 3D de Rue des Zouaves à partir de l'altitude du vol d'un oiseau aidera à mettre une image plus précise dans la tête. Ici vous pouvez voir toutes les rues voisines, les routes et les sites. Retour à la sélection des rues.

En effet, cette impasse s'appelait autrefois « Am Brettstelle Eck », qu'on pourrait traduire en français (trivial) par « Le coin à putes », Bretschtel (ou Brettstel) pouvant signifier prostituée dans le langage populaire alsacien. La raison de ce dévoiement est probablement à chercher dans les fantasmes populaires où le bretzel, en raison de sa forme arrondie, était censé symboliser le postérieur. Ainsi, au XVIIe siècle, pour marquer leur opposition à l'annexion française, les Alsaciennes montraient leur postérieur à chaque fois que les Français passaient devant leur maison. Ces démonstrations d'hostilité étant ensuite sévèrement réprimées, elles choisirent de leur offrir narquoisement des bretzels [1]. Ces jeunes filles étaient alors peut-être craquantes, mais on reste quand même loin des craquelins!! L'explication historique de la présence de prostituées à cet endroit est la suivante: la Krutenau était anciennement un quartier très populaire fréquenté par de nombreux militaires de l'arsenal ou de la citadelle.

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