Ma Commune, Ma Santé : Une Mutuelle Pour Tous - Ville D'antony

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July 31, 2024

Rencontre avec Benoît Jourde avant la permanence du mardi 3 septembre. En 2016, en prévision de l'entrée en vigueur de l'Ani (Accord national interprofessionnel, 355 communes avaient pris part au dispositif "Ma commune ma santé", porté par l'association Actiom (Actions de mutualisation pour l'amélioration du pouvoir d'achat), pour répondre à la difficulté croissante de l'accès aux soins de leurs administrés. La commune de Saint-Georges-d'Orques fait partie de ces premières villes qui se sont mobilisées. L'absence de complémentaire santé est la première cause de renoncements aux soins. Benoît Jourde, référent départemental répond à nos questions. Quelle est la genèse de la création d'Actiom. Où et comment intervenez-vous aujourd'hui? Actiom fut créée dans le Sud-Ouest à l'initiative d'élus locaux. Devant son succès, son périmètre s'est rapidement étendu. Aujourd'hui 2 891 communes ont fait appel à ce dispositif. Nous avons également signé une convention avec des départements, comme le Loiret par exemple.

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L'absence de complémentaire santé est la première cause de renoncement aux soins. En 2013, 33% des personnes interrogées déclaraient avoir renoncé à des soins dans l'année écoulée pour des raisons financières, contre 27% en 2012 [3]. Les Mutuelles de France reconnaissent la préoccupation légitime des communes vis-à-vis des laissés pour compte de l'ANI. Le mouvement mutualiste propose aux communes des réponses de santé globales assises sur le Livre III, l'offre de proximité et la prévention pour répondre à un besoin de prise en charge optimale des populations. Les actions locales de santé sont l'un des marqueurs historiques forts de nos mutuelles. Dans un contexte où le maillage territorial et les solidarités locales s'effritent, ce dispositif peut être l'occasion de proposer des réalisations concrètes dans la lignée des principes et postures du mouvement mutualiste. [1] « Quelques 355 municipalités participent au dispositif de couverture santé mutualisée, ma commune ma santé », AEF, 4 septembre 2015 [2] [3] Baromètre Europe assistance de l'automne 2013

Le lundi 17 septembre 2018 à 12:00 Le territoire de Guingamp Paimpol Armor-Argoat Agglomération (GP3A) a décidé de se lancer dans le programme Ma Commune, Ma santé. Il s'agit d'un programme proposé par l'association Actiom aux collectivités qui souhaitent faire bénéficier leurs habitants d'une complémentaire santé solidaire et collective, à moindre coût mais aussi sans condition de revenus. Gros plans! Bon nombre de ménages n'ont pas accès à une complémentaire santé, pour des raisons financières ou faute d'avoir un emploi qui en propose. Les retraités, les étudiants, ainsi que les intérimaires en font partie. Cette situation entraîne une recrudescence du renoncement aux soins. Pour y remédier, le territoire de Guingamp Paimpol Armor-Argoat Agglomération (GP3A) a opté pour un partenariat avec l'association Actiom. Pour rappel, cette association négocie des contrats auprès de partenaires mutualistes, afin de proposer aux collectivités une mutuelle solidaire, accessible à tous. Grâce à ce programme Ma Commune, Ma santé, les habitants de la communauté de Guingamp vont enfin pouvoir mieux se soigner.

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Même si les données actuelles semblent montrer que l'épidémie se stabilise en France, il est fortement probable que la circulation du virus se réintensifie périodiquement La HAS Or selon toutes les données disponibles, face au variant dominant actuel (Omicron et ses divers sous-variants), l'érosion immunitaire reste élevée quatre mois après l'administration de la dernière dose vaccinale. Les données britanniques, par exemple, montrent une baisse de la protection de 60 à 80% face au risque d'hospitalisation. Or actuellement l'intérêt vaccinal est principalement justifié par la réduction du risque de forme sévère. Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies. En cliquant sur « J'accepte », les cookies seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus. En cliquant sur « J'accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire. Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment.

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Il convient d'être vigilent à ne pas créer des contrats au rabais pour des populations précaires financièrement. Ainsi, le tarif de la complémentaire santé que la commune va proposer à ses habitants « devrait être plus bas de 10 à 15% par rapport à ce qui se pratique », évalue le député-maire UDI de Drancy Jean-Christophe Lagarde [2]. L'ACTIOM évoque même une diminution du coût de 30%. La contraction toujours plus importante des tarifs des mutuelles est une chimère car elle se traduit inévitablement par une moindre capacité à développer nos œuvres sociales et nos activités de prévention qui sont pourtant les outils indispensables pour réaliser l'accès à la santé pour tous. Trois mutuelles partenaires assurent la couverture du risque, néanmoins ni les communes ni les particuliers n'entretiennent aucun lien contractuel avec celles-ci, l'association sert d'intermédiaire. Au niveau national, on estime que 16% de la population ne bénéficie que des remboursements de la Sécurité sociale. Ainsi, leur reste à charge est très important pour certains soins (optiques, auditifs, dentaires).

En prévision de l'entrée en vigueur de l'ANI en janvier 2016, 355 communes françaises ont pris part au dispositif porté par l'ACTIOM pour bénéficier de contrats individuels à tarifs réduits. Retour sur cette expérimentation. Ainsi se dénomme l'opération à laquelle participent 355 communes françaises soucieuses de répondre à la difficulté croissante de l'accès aux soins de leurs habitants [1]. La généralisation de la complémentaire santé pour les salariés du secteur privé prévue par l'ANI en janvier 2016 laissera de côté un nombre certain de personnes: les chômeurs, les jeunes, les personnes en CDD, les intérimaires, les retraités, les fonctionnaires... Ce projet est porté par l'association ACTIOM - action de mutualisation pour l'amélioration du pouvoir d'achat - et déployé par les CCAS et mairies sur le terrain. Si l'intention de l'association est louable, les Mutuelles de France notent cependant qu'il s'agit de contrats aux niveaux de garanties moindres que ceux des « contrats classiques » à dénomination équivalente.

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