« Étrange, d'habitude, c'est l'inverse », lui fait remarquer un passeur. Commence alors un périple qui précipitera la jeune Syrienne dans une guerre implacable et ébranlera chacun de ses idéaux. Plongée dans l'enfer de la barbarie, elle n'aura d'autre choix que de prôner la paix une arme à la main. Elle qui ne tirait jadis que maladroitement sur des canettes d'Orangina deviendra lors du siège de Kobané en 2014 la « snipeuse aux cent victimes », véritable symbole de la résistance. Mais chaque vie qu'elle ôtera, chaque balle qu'elle tirera, transpercera son cœur un peu plus: peu importe, au fond, si elle doit mourir au combat. Voilà déjà des mois qu'elle a arrêté de vivre. Mon Ange est inspiré d'une histoire vraie. Bien qu'on ne sache pas grand-chose de Rehana, « l'Ange de Kobané », une véritable légende s'est construite autour d'elle – une légende renforcée encore par le récit d'Henry Naylor. La plume de l'auteur britannique, savamment rendue par la traductrice Adélaïde Pralon, parvient à faire cohabiter les mots les plus durs avec les mots les plus beaux, la violence d'une guerre effroyable avec la poésie des convictions de Rehana.
Lina El Arabi fait preuve d'une gamme de tonalités de voix étonnante, en imitant les voix de sa mère, de son père, qu'elle ne cessera d'évoquer dans son périple. Le décor très ouvragé de Jacques Gabel, magnifié par la lumière dorée de Joël Hourbeigt, ne cesse d'évoluer sous nos yeux au fil de l'histoire. Soudainement les coups de feu crépitent, suivis d'explosions assourdissantes. C'est la fuite, puis l'exode solitaire, l'emprisonnement, la fascination des hommes pour sa resplendissante beauté qui la met en danger. Sous la lumière changeante, la tonnelle devient une grotte, où Rihana est prisonnière. Une fois évadée, une très belle toile peinte, devancée d'une petite dune, suffisent à évoquer le désert. Rihana a rejoint la Résistance et s'empare d'armes dignes d'un blockbuster américain pour partir au combat. "Mon Ange"/"Angel" est le troisième volet de la trilogie "Arabian Nightmares" d'Henry Taylor, consacrée aux guerres au Proche-Orient, à la torture, au terrorisme et à la condition féminine dans la région.
Cet été, à l'occasion du 71e Festival d'Avignon Off, Jérémie Lippmann a eu l'immense joie de dévoiler son œuvre "Mon Ange", aux côtés de notre Président d'Honneur Jacques Gabel et Joël Hourbeigt. Véritable hommage aux combats menés par la résistance kurde contre Daesh, l'oeuvre raconte l'histoire de Rehana, fille de fermier, qui vécu le débarquement des troupes dans son village, la fuite, de nombreux et douloureux périples, avant d'enfin rejoindre les forces kurdes. Une magnifique pièce dont le décor fut travaillé avec soin par Jacques, avec le concours des ressources d'ArtStocK. Lire un article sur le sujet:
Sous la lumière changeante, la tonnelle devient une Le prologue ténébreux s'éclaircit comme une aube et laisse apparaître la silhouette hiératique de Rehana, telle une cariatide de noir vêtue. Le bruissement de la nature environnante se fait entendre sous une tonnelle, évocation du verger, qui remplit tout l'espace scénique. Lina El Arabi fait preuve d'une gamme de tonalités de voix étonnante, en imitant les voix de sa mère, de son père, qu'elle ne cessera d'évoquer dans son périple. grotte, où Rihana est prisonnière. Une fois évadée, une très belle toile peinte, devancée d'une petite dune, suffisent à évoquer le désert. Rihana a rejoint la Résistance et s'empare d'armes dignes d'un blockbuster américain pour partir au combat. "Mon Ange"/"Angel" est le troisième volet de la trilogie "Arabian Nightmares" d'Henry Taylor, consacrée aux guerres au Proche-Orient, à la torture, au terrorisme et à la condition féminine dans la région. Le texte puissant, l'incroyable performance de Lina El Arabi, portée, transportée par son rôle, la splendeur du dispositif scénique, l'actualité du sujet, font de l'adaptation de Jérémie Lippmann un grand moment de théâtre.
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Jack Daniel's est l'une des plus anciennes distilleries enregistrées des Etats-Unis, elle est aujourd'hui répertoriée en tant que site national historique. A 7 ans, Jack Daniel quitte sa famille pour travailler dans une distillerie du Tennessee. A 13 ans, il rachète l'affaire et devient propriétaire de la distillerie. En 1866, il fonde la Jack Daniel's Distillery de Lynchburg Tennessee et obtient une licence d'exploitation la même année. Le célèbre Tennessee whiskey continue d'être fabriqué aujourd'hui, conformément à la méthode élaborée par Mr. Jack en 1866. Dans la zone appelée rickyard, ils fabriquent eux-mêmes le charbon utilisé lors du processus d'adoucissement du whisky (mellowing). Coffret whisky avec verre de. L'alcool obtenu est ainsi filtré goutte à goutte à travers une épaisse couche de charbon de bois d'érable. C'est ce procédé qui donne son goût unique au whiskey de Jack Daniel's. Le whiskey vieillit ensuite 5 ans à l'intérieur des fûts de chêne blanc, dont on a fait flamber l'intérieur. Jack Daniel's confectionne également des produits dérivés avec son whiskey comme les sauces barbecue.
Après quelques années, le whisky est transféré dans des fûts de sherry Oloroso Trier l'affichage des avis... L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.
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