Serait-ce le clap de fin pour le Lido? En décembre dernier, le célèbre et mythique cabaret parisien a été revendu au Groupe Accor, géant dans l'hôtellerie. Si ce dernier assurait vouloir conserver l'esprit du cabaret, cela n'est finalement plus d'actualité. Le cure du cabaret aléatoire. Il semble que les nouveaux dirigeants aient décidé de changer de concept et d'en finir avec le cabaret transformant ainsi l'établissement en une simple salle de spectacle sans restauration selon les informations de nos confrères de BFM. N'étant plus rentable depuis plusieurs années, la crise sanitaire n'a pas arrangé l'état des comptes du cabaret qui souffre d'une image vieillissante. La direction a donc annoncé ce changement de cap à l'ensemble du personnel ce mercredi 11 mai. Cela va se traduire par un licenciement collectif de la quasi-totalité des 184 salariés actuels. Le groupe ne souhaiterait conserver que quelques techniciens et personnels administratifs. Pour l'instant, la direction garantit les salaires jusqu'au printemps 2023 mais pour le reste, les négociations doivent débuter.
Publié le 09/06/2012 à 0h00 La soirée spéciale Fête des mères, organisée samedi dernier avec le spectacle du Cabaret Nostalgie, a été une réussite et la salle du Grenier était comble. La prochaine manifestation prévue par le comité des fêtes aura lieu vendredi 13 juillet avec un grand bal et des feux d'artifice. photo astrid martin-auberdon
» Ce nouveau spectacle, c'est aussi un retour aux sources du cabaret équestre, pour le Théâtre Zingaro. Le cure de camaret chanson paillarde. Pour Bartabas, il était indispensable après les confinements et la mise à l'arrêt de la culture dus à la pandémie de Covid-19: « C'était essentiel de revenir à une forme plus conviviale, au théâtre comme rencontre humaine, comme partage », insiste le fondateur du théâtre équestre. L'amour de Bartabas pour les cultures nomades l'a mené vers le yiddish, « langue officielle du nulle part, langue de l'exil par excellence » Le Yiddishland et sa culture se sont imposés, pour le premier de ces « cabarets de l'exil », qui sera suivi par d'autres les saisons prochaines. L'ADN tzigane de Zingaro n'a jamais été bien loin de cet univers-là, et l'amour de Bartabas pour les cultures nomades l'a mené vers le yiddish, « langue officielle du nulle part, langue de l'exil par excellence ». La rencontre avec le monde de l'auteur Isaac Bashevis Singer (1904-1991), peuplé d'hommes et de chevaux volants, ainsi qu'avec le comédien Rafaël Goldwaser, baigné de culture ashkénaze, et l'ensemble de musique klezmer de sa fille Marine Goldwaser, le Petit Mish-Mash, a fait le reste.
Célina si tu m'aimais tu me ferais des nouilles (bis), Et tandis que j'les mangerais, Ton p'tit doigt me chatouillerait, les couilles, les couilles.
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