C'est en 2019, que la Faïencerie trouve un nouveau souffle, grâce à l'intervention visionnaire de Cyrille Frappé. Convaincu de son potentiel, il fait l'acquisition de ce fleuron de l'artisanat traditionnel français. Son ambition est de faire perdurer un savoir-faire historique et redonner ses lettres de noblesse à des céramiques d'Art, utilitaires ou encore décoratives. Pour l'accompagner dans ce projet ambitieux, Cyrille fait appel à la designer Aurélie Richard afin de mener la Direction Artistique de la manufacture, et l'élaboration des nouvelles collections. Dès lors, la Faïencerie de Charolles prend définitivement le tournant de la modernité en proposant un véritable choix créatif et innovant. Des collections qui allient tradition et modernité Aujourd'hui, la Faïencerie de Charolles présente différentes collections permanentes et d'autres dessinées par Aurélie richard et Alain Gilles. Respectivement, les deux designers posent leurs visions contemporaines sur le savoir-faire ancestral de la Faïencerie.
Coupe en faïence de Charolles. Modèle tripode à bordure ondulée. Décor de fleurs, de papillon et d'insectes. Signée au dos Charolles surmonté d'une marguerite avec lettre M pour la période Molin. FIN XIXème SIECLE. Dimensions: Diamètre 23 cm. Hauteur 10 cm. La Faïencerie de Charolles est une entreprise fondée en 1844 par Hippolyte Prost (1827-1892), dans la ville de Charolles en Saône-et-Loire. Enfant du pays, Hippolyte Prost voit le jour en 1827 alors que la cité est sous-préfecture et compte 3200 habitants. Son père Philibert Prost est installé comme horloger à Charolles rue du Puits-des-Ravauds. En 1839, il a 12 ans et travaille dans la petite poterie que son père a montée. Il part apprendre le métier à la faïencerie Pys à Digoin, puis à Premières en Côte-d'Or dans la faïencerie de Gustave Pignant. À la fin de son apprentissage, il rentre au pays, bien décidé à donner de l'essor à la petite poterie familiale qui se trouve située sur les bords de La Semence, rue des Marais. Son père pour aider son fils à s'installer et à moderniser son entreprise vend ses parts de la concession des mines de Perrecy-les-Forges.
La Faïencerie de Charolles traverse les époques, mais ne cessera de porter haut le savoir-faire de la céramique, grâce à une poignée d'artisans passionnés qui n'abandonnera jamais. Elle deviendra petit à petit LA REFERENCE en faïencerie d'art, en France et à travers le monde. Pendant près de 20 ans la Manufacture s'impose dans la décoration plus et le savoir-faire de la céramique. Le monde change, et pendant quelques années la Faïencerie, métier d'art originel, peine à trouver sa place. En 2019, Cyrille Frappé, persuadé du potentiel créatif de la Faïencerie, reprend la Manufacture et lui offre un nouveau souffle. Son ambition: faire perdurer ce savoir-faire historique et redonner leurs lettres de noblesse à des objets de décoration et petits mobiliers porteurs de sens et emprunts d'histoire. Pour accompagner sa vision, il fait appel à Aurélie Richard, Directrice Artistique et designer. La Manufacture prend définitivement le virage de la modernité et noue des collaborations avec des designers indépendants pour créer un véritable choix de céramiques d'Art.
Irénée Horel Claude Vion Peintres [ modifier | modifier le code] Claude Aucler Bonnet Dardouillet C. Desvignes François Léon Leclaire Maurice Michaud J. Monnet V. Landry Élisabeth Parmentier, créatrice du décor dit artistique en 1879 Collections publiques [ modifier | modifier le code] Charolles, musée du Prieuré: céramiques de C. Desvignes. Le musée a présentée une exposition consacrée à la Faëiencerie de Charolles Terre et Matières, du 6 juin au 30 septembre 2015 [ 3]. Expositions [ modifier | modifier le code] Exposition universelle de 1889 à Paris Récompenses et labels [ modifier | modifier le code] Trophée au prix de l'innovation de l' Institut National de la Propriété Industrielle (INPI), en 2010 L'entreprise a reçu le label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) [ 4]. Bibliographie [ modifier | modifier le code] Collectif, La Faïence de Charolles 1844-1892 Hyppolyte Prost créateur de génie, Éd. Les Amis du Prieuré de Charolles Françoise Labonde, « Hippolyte Prost, créateur de la faïencerie de Charolles », in Revue des Sociétés généalogiques de Bourgogne, n°112, avril, mai, juin, 1998. p. 4-17 Notes et références [ modifier | modifier le code] ↑ Histoire locale, rapporté par Françoise Labonde dans « Hippolyte Prost… », in La revue des Sociétés généalogiques de Bourgogne, n°122, avril, mai, juin, 1998, p. 15.
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Un peu plus tard, devant le manque de place et l'inondation de son atelier en 1855, il achète à Philibert Pézerat les bâtiments du Domaine de La Madeleine pour y installer sa nouvelle manufacture. Ce domaine fait face au prieuré actuel musée présentant les faïences de Charolles. Il conçoit les plans, dirige la construction des nouveaux bâtiments et la restauration des anciens selon les nécessités de son activité. L'ensemble sera inauguré en 1858 et sa production va dès lors prendre de l'importance en qualité et en quantité. Pendant la guerre de 1870, les soldats de Garibaldi s'étant repliés sur Charolles après de durs combats contre les Prussiens dans la région d'Autun, il en cacha dans le grand bric-à-brac de ses entrepôts. Il produit des pièces plus fines et décorées de peintures réalisées à la main par des artistes professionnels. La manufacture compte une soixantaine d'ouvriers et fabrique ses couleurs ainsi que son émail. En 1875, il redouble d'activité et après avoir modernisé son entreprise, il se trouve aux prises à des difficultés.
Bonjour, Pour mon premier article sur le blog, je veux partager notre expérience de fabrication d'un nouveau safran pour notre voilier brio Moana port d'attache à Ouistreham dans le Calvados suite à une rupture nette en navigation due à l'usure de notre safran. La petite histoire En avril notre brio, tout propre, fraîchement caréné et bichonné pendant l'hiver prenait une nouvelle fois la mer pour une sortie à quatre ou nous devions essayer le spi pour la première fois. Conférence « Un voilier nommé Kurun, dans le sillage de Jacques Yves Le Toumelin » par Michel GERMAIN Guérande. Bon vent, un quinzaine de noeuds, mer belle à peu agitée. Après une heure de navigation à belle allure à plus de six nœuds, 15m d'eau sous la carène à 2 miles au sud de Vers sur Mer, je préparais le tangon quand mon ami Christian semblait perdre le contrôle de la barre. Le bateau tourne sur lui même plusieurs fois dans un sens, puis dans l'autre. Après quelques railleries collectives à notre amis Christian, celui-ci nous confie ne plus arriver à barrer le voilier. Changement de barreur pour un second qui pense savoir faire mieux!
Idem, encore quelques tours sur nous même. Puis moi qui tente de reprendre les choses en main, impuissant je porte mon regard rapidement sur l'arrière... nous avons cassé le safran. Je pense pouvoir équilibrer les voiles pour ne plus tourner sur nous même, impossible de tenir le bateau, retour au port. Nous n'avons rien à bord pour improviser un safran de fortune. C'est donc parti pour 3 heures de retour au port au moteur. Wade traite un journaliste de "vendu" et le boute dehors. 2 d'entre nous [les « mieux portants »] assis sur le tableau arrière pour peser et utiliser un peu les 10cm de safran qui nous restent dans l'eau et 2 autres qui manipulent le moteur hors-bord pour essayer d'aller droit autant que possible, un qui gère la direction pour compenser nos écart de route importants, l'autre qui gère l'accélération [et la décélération du moteur quand on part franchement trop de travers]. Fabrication d'un nouveau safran Après cette péripétie, je me rapproche de mon chantier pour savoir le coût et délai du remplacement de ce safran. Celui-ci contacte Jeanneau qui nous annonce ne plus avoir la pièce et nous propose de faire fabriquer le safran.
Si certains d'entre vous ont compensé leur safran, nous sommes intéressés d'avoir des retours sur ce point. Vincent.
Malheureusement là mon met le doigts sur un problème complexe et multiple... Concernant juste l'aspect plaisance, je pense qu'il est incontestable qu'il y ait (beaucoup) trop bateaux dans les antilles fr. Évidement, quant on vois un millier de bateaux dans une baie, il est difficile de nier qu'entre les ancres, les moteurs d'annexes, les moteurs pour recharger les batteries, l'antifouling, les eaux noires, grises (vertes? ) etc.... L'impact écologique est désastreux. Par contre, il faut aussi remettre les choses dans leur contexte: à fort de france, comme à pointe à pitres (et sans doute au marin et ailleurs), la plupart des égouts de la ville partent direct dans la baie sans assainissement. Baies qui sont déjà archi-polluées par 60 ans d'agriculture intensive et de chlordécone. Fabriquer un bout dehors voilier des. Si on rajoute là dessus la surpêche, le réchauffement climatique et les ferry de croisière, ben forcément les coraux sont tout gris et les poissons bien rares... Après concernant la situation socio-économico-culturelle, il y a là aussi bien des problèmes...
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