Le futur gazoduc aura également des retombés socio-économiques sur le Niger et les autres pays du Sahel, déstabilisés par l'insécurité et le sous développement chronique. Les perspectives des marchés du gaz naturel à travers le monde sont très optimistes. La lutte contre le réchauffement climatique La lutte contre le réchauffement climatique passe par la réduction sensible de l'utilisation du charbon et du fuel dans la génération électrique. Une réduction qui ouvre la voie au gaz naturel moins polluant. De leurs cotés, les pays européens doivent sortir de la dépendance d'un ou de deux fournisseurs dans leurs approvisionnements en gaz naturel. Soutenir financièrement et payer un prix acceptable de gaz naturel soutiendraient la réalisation du futur TSGP. Chose qui permettrait, à l'avenir, à l'Union européenne de diversifier ses approvisionnements en gaz naturel. Le Ministre de l'Energie et des Mines, M. Mega projet algerie.com. Mohamed Arkab. Pour rappel, l'idée d'un gazoduc d é pend le Nigeria à l'Algérie, surnommé le «transsaharien», a germé dans les années 1980, mais l'accord concrétisant la mise en œuvre du projet n'a été qu'en 2009 par les gouvernements du Niger, du Nigéria et de l'Algérie.
Il a même mis en avant le nombre de sociétés crées depuis 10 ans. « Aujourd'hui, nous disposons de 550 bureaux d'études, contre seulement il y 10 ans », a-t-il donné comme exemple. Selon lui, 650 000 emplois ont été également crées durant cette période. Essaïd Wakli
Avr 09 Algérie – Un expert en transition énergétique a suggéré, lors d'une émission de la radio Chaîne 3, que la France était derrière l'annulation du méga-projet d'énergie solaire élaboré par l'Algérie et l'Allemagne, dans le cadre du projet Désertec, dans le grand Sahara algérien. L'invité de la rédaction, Tewfik Hasni, consultant en transition énergétique, pense que la France était pour quelque chose dans la suspension du méga-projet algéro-allemand Désertec, qui visait à créer des fermes de panneaux solaires dans le Sahara algérien et qui pouvait concurrencer le nucléaire français. « Désertec était considère par certains pays comme une solution à leurs problèmes, mais pour d'autres pays comme la France, c'était une concurrence au nucléaire », a affirmé l'expert. Tewfik Hasni assure que « la France ne pouvait pas accepter Désertec ». Algérie : C'est le grand saut dans le méga projet chinois [Vidéo] - Tunisie. « Il y avait une volonté de nous limiter, de nous empêcher d'exploiter ce potentiel électrique solaire. Cela entrait dans une stratégie », a-t-il ajouté avant de rappeler que « le nucléaire est la chasse gardée de certains pays alors qu'avec l'électricité solaire, on venait concurrencer cette chasse gardée ».
Ce projet permettra donc de fournir cette matière aux exploitants agricoles, tout en limitant le recours à l'importation. Mega projet algerie eni plus que. L'investissement initial est estimé à 132 M USD, et c'est l'entreprise Vale Fértil, filiale de l'entreprise israélienne LR Group, qui se chargera de l'exploitation et de la transformation du phosphate. C'est la première entreprise à obtenir une licence d'exploitation pour le phosphate en Angola. Algérie - Concrétisation du projet de production de phosphate prévue pour 2022 19/01/2020 Le groupe pétrolier public SONATRACH et le groupe Chinois CITIC construction ont signé, début janvier 2020, à Alger, un avenant au protocole d'accord relatif au projet intégré de production de phosphate en Algérie. Pour rappel, en 2018, des pourparlers ont été engagés entre les 2 entreprises chinoises CITIC et WENGFU, avec les groupes publics algériens MANAL, SONATRACH et ASMIDAL pour un éventuel partenariat portant sur l'exploitation et la transformation de phosphates dans la région de Tébessa (Est d'Algérie).
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