Le Français A Pailleron- Promenades Litteraires: "Le Journal D'un Monstre" - Matheson

Huile Vitamine E Cheveux
August 1, 2024
« Le Journal d'un monstre » est une courte nouvelle à la frontière du fantastique et de la science-fiction. Journal d’un monstre, Richard Matheson (nouvelle complète) – Eric Costa. Le récit paraît pour la première fois dans la revue « The Magazine of Fantasy & Science Fiction » en 1950, sous le titre « Born of Man and Woman ». Cette nouvelle est reparue en 1977, corrigée par l'auteur. Elle est souvent prise en exemple pour le vocabulaire et le ton employés. Le récit est écrit à la première personne du singulier, il s'agit du journal d'un enfant, enfermé dans une cave car c'est un monstre.

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Line décide que ce mardi sera un mardi où elle dira non à tout à tout le monde. Pourtant quand elle se lève, elle prend son chocolat chaud et ses deux tartines avec sa confiture épaisse couche rouge mélangée au beurre coulant plongée dans le lait fumant. Puis elle prend sa douche s'habille avec un pantalon de toile et un haut beige se terminant par deux pointes. Elle sort dans la rue avec son sac à main celui qu'elle a acheté dans un magasin sur le boulevard Saint Michel. Elle travaille dur comme un mardi ce qui n'a rien à voir avec ce qu'elle peut donner un mercredi mais quand même pas autant qu'un jeudi. Sa collègue lui raconte ce qu'elle fait lundi soir soit à peu près la même chose à une nuance près que ce qu'elle a fait dimanche soir: baiser. La nuance c'est que mardi soir elle était seule. Le journal d un monstre commentaire d'arret. Puis à la pause déjeuner, Line lit le journal gratuit du métro et sa collègue le lit par dessus son épaule. C'est une chose que Line ne supporte pas, ça et l'odeur des chats. Les chats, selon elle, dégagent une odeur immonde.

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Line lui soutenait qu'elle ne pouvait pas porter de jaune, qu'elle ne voulait pas de jaune, ni de blouson jaune, qu'elle n'en voulait pas mais la vendeuse qui sentait de la gueule assez fort n'en finissait pas avec son manteau jaune si bien que Line a fini par dire oui. Elle le met alors son manteau jaune et elle descend les escaliers elle sourit à la réceptionniste Géraldine qui lui sourit alors qu'elle lui passe des coups de fils toute la journée pour lui demander son signe astrologique mais Line lui sourit et leur sourire n'en finit pas reflet du reflet miroir face à un autre miroir. LE FRANÇAIS A PAILLERON- PROMENADES LITTERAIRES: "Le journal d'un monstre" - Matheson. Line sort, l'air froid et bruyant de Neuilly. Les voitures entassées les unes sur les autres dans une partouze orgasmique à coup de klaxon éjaculatoire. Line n'est pas trop échangiste alors elle n'a pas de voiture. Alors elle prend le métro qui est un plaisir identique mais dénué d'éjaculation ou plutôt d'éjaculation orgasmique réfrénée refoulée, violemment. Comme ce désir de se faire prendre par plusieurs hommes en sandwich contre les portes qui se referment.

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Il fallait continuer la nouvelle Journal d'un monstre de Richard Matheson XX- Aujourd'hui, nouveau jour, pleins de nouveau. Ce matin, du haut de l'escalier, j'ai entendu papa dire qu'il fallait en finir; que s'en était trop; le reste je ne sais pas car il a changé de pièce avec maman. C'était avec maman qu'il parlait; je le sais parce que, quand il parle avec la petite maman il a toujours un ton doux comme il n'a jamais avec moi; moi je ne connais que ses cris avec la colère dans ses yeux. Quand c'était le moment ou là-haut est jaune, j'ai réussi à faire sortir la chaîne, j'étais très content, j'ai même réussi à la retirer de moi. Ca a fait un peu de bruit. Le journal d un monstre commentaire dans. Maman à demandé à papa s'il avait entendu; il avait entendu, ça recommençait, il faudra le faire dans une heure ou deux, quand la petite dormira qu'il a dit. J'avais faim, car ils ne m'avaient pas donné à manger, alors j'ai pris la bête vivante et je l'ai mangé, c'était beaucoup meilleur que les cafards! J'ai entendu maman qui disait à papa que la petite était couchée « sur le sofa » et qu'ils pouvaient y aller sans crainte maintenant j'ai entendu leur pas marcher là-haut puis se rapprocher; prendre l'escalier et commencer à descendre.

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sur ce, bonne continuation:D -Merci, Mélanie, je suis contente que ça te plaise. L'idée en soi n'est pas très importante, la vraie difficulté, c'est de garder la cohérence au niveau de l'expression du petit monstre, et ce, bien sur, à la première personne. -Au commentaire du 5/12, je vais relire tout ça dès que j'aurai un peu de temps mais le plus drôle, c'est (l'énorme) faute que tu as toi-même laissée dans ton commentaire... "qu'il y est des fautes d'orthographe"... En effet, ce n'est pas le bon auxiliaire que tu as utilisé il fallait utiliser ici l'auxiliaire avoir donc "qu'il y AIT des fautes d'orthographe". Le journal d un monstre commentaire en. Tu me diras, entre moi pour l'orthographe et toi pour la grammaire, on fait la paire! ^^ -fham, merci pour cet intérêt, il est vrai que c'était truffé de fautes, d'orthographe, de grammaire, c'est réparé maintenant (normalement). Oui, c'était un vrai sujet de rédaction donné en seconde si je me souviens bien. -Pour le commentaire du 17/01: Déjà j'ai envie de dire que c'est juste trop intelligent de copier bêtement un texte ensuite ça dépend de ton sujet...

Ils faisaient de bons bruits et ils couraient partout sur la terre. Leurs jambes allaient très vite. Ils sont pareils que papa et maman. Maman dit que tous les gens normaux sont comme ça. Et puis un des papas petits m'a vu. Il a montré la petite fenêtre. Je suis parti et j'ai glissé le long du mur jusqu'en bas. Je me suis mis en rond dans le noir pour qu'ils ne me voient pas. Je les ai entendus parler à côté de la petite fenêtre et j'ai entendu les pieds qui couraient. Dans là-haut il y a eu une porte qui a tapé. Le journal d'un monstre de fichesdelecture.com | Livre | Résumé et critiques. J'ai entendu la maman petite qui appelait dans là-haut. Et puis j'ai entendu des gros pas et j'ai été vite sur mon lit. J'ai remis la chaîne dans le mur et je me suis couché par-devant. J'ai entendu maman venir. Elle a dit tu as été à la fenêtre. J'ai entendu la colère. C'est défendu d'aller à la fenêtre, elle a dit. Tu as encore fait partir ta chaîne. Elle a pris la canne et elle m'a battu. Je n'ai pas pleuré. Je ne sais pas le faire. Mais mon liquide a coulé sur tout le lit.

Qu'est-ce qui dans le texte permet de tels proliférations, étirements et excroissances? On pourrait répondre en insistant sur les personnages et la portée du texte lui-même. Mais il y a aussi quelque chose dans Moby Dick qui relève de la texture même, et qui apparaît dans tous ces passages de descriptions de matière et de couleur... La blancheur de Moby Dick et ce célèbre chapitre qui la consacre sont bien connus. On y entend toute l'importance d'un blanc implacable, d'un blanc qui fait taire toutes les multiples lectures. Face à toutes ces interprétations, qui font de Moby Dick un monstre de (la) littérature, prolongent le texte dans tous les sens, ce blanc indique plutôt la profondeur, celle des textures, l'importance de la matière, des sens, des couleurs, des sensations. En témoigne ce passage incroyable... Quand il n'y a pas de signification simple dans un texte, il reste ainsi les sens d'une texture. Qui ne l'étirent pas en longueur, mais en révèlent la profondeur, comme celle de Moby Dick.

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